Le célèbre rituel de fin d’année qui s’identifiait presque toujours à de réjouissances diverses, entre des individus fiers d’avoir passé une année excellente, semble perdre progressivement sa raison d’être. De sérieux moments troubles auront porté un coup sérieux à la joie du vivre des Camerounais, entre autres, catastrophes naturelles; le problème perspicace des salaires du personnel enseignants; les axes routiers de plus en plus tueurs et qui laissent de nombreuses familles en larmes, à cela s’ajoutera l’épineux problème de l’approvisionnement en énergie électrique, en eau potable et même en produits pétroliers, le tout baigné dans une vie visiblement chère et donc inaccessible à la grande majorité.
Un grand flou, qui laissent perplexe les patriotes de la terre Cameroun et c’est donc une fin d’année sous tension qui anime l’esprit du citoyen moyen qui continue néanmoins de s’imaginer à foi farouche, un sursaut des pouvoirs publics, contribuant à améliorer les conditions de vie des camerounais que les plus pauvres qualifient de supplice !
Yaoundé: fin d’année trouble

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