Entre rupture et mauvaise qualité des services Internet, les citoyens n’ont guère de choix que de s’apitoyer sur leurs sorts.
Plusieurs services ralentis et certains stoppés net en l’absence d’Internet. Ce qu’on appellerait la crise de l’internet, a crée un gêne qui ne passe pas inaperçu au sein de la communauté Camerounaise.
L’agence de régulation et des télécommunications (ART) ,confirme la rupture de certains câbles à fibre optique sous-marins, destinés pourtant à offrir une qualité optimale de connexion Internet.
L’installation de ces câbles, acclamée il y’a peu n’a pourtant pas vieilli de 3ans.
Au quotidien, l’occasion est bien donnée d’évaluer, la place l’indispensable des services Internet dans la société camerounaises. Etudiants, travailleurs, commerçants en ligne, apprenants par E-learning, souffrent désormais d’un mal si commun. Quelques jours seulement auront suffit pour que le mal soit insupportable. Ils n’en peuvent plus ,ces consommateurs de La connexion internet qui visiblement pour eux, n’a pas de remplaçant.
Les autorités prennent des mesures urgentes pour résoudre le problème persistant de l’accès difficile à la connexion.

Une autre incidence, celles des opérations bancaires qui mettent en mal ,la mise en disposition des ressources financières à vitesse satisfaisante.
Un Cameroun sans internet laisse imaginer un pays en arrêt et avise certainement sur les mesures à prévoir, sur ce qui est de la fourniture régulière de la connexion internet de bonne qualité pour ne pas souffrir des résultats au rabais dans presque tous les secteurs d’activité du territoire Camerounais